2 février 2010
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17:33
C'est dans la tête,
c'est psychique,
c'est psychosomatique,
c'est un trouble fonctionnel.
Faut aller voir un psy, tout est normal !
Oui, mais ... ils ont tous faux : les médecins, les soignants, les entraîneurs, les coachs, enfin tous ceux qui sont en face de celui qui souffre et chez qui on ne touve pas toujours quelque chose !
Et pourtant, quelle souffrance !
Combien de fois ai-je entendu : il faudrait que j'ai un bon cancer pour qu'on me croit enfin !
Non, non, cher Patient, pas d'excès ni d'impatience,
pas besoin d'aller mal pour aller mieux !
Le corps a ses raisons que la raison ignore,
mais que l'inconscient, dans le secret et dans l'intime, ne connaît que trop bien.
5% des informations que nous recevons passent par le filtre de notre conscience alors 95% des information échappent à cette capacité d'être discriminées.
Elles développent leur toxicité dans certaines situations. ce qui peut expliquer des moments de malaise ou de mal-être à certains moments de la journée, sans trop savoir pourquoi l'on se sent ainsi.
Imaginez alors cette accumulation pendant plusieurs semaines, mois ou années,
sans jamais en avoir conscience.
Pouvez-vous soupçonner les dégâts occasionnés sur les organes, qui dans le silence, souffrent et n'en peuvent plus mais !
Il est important de clarifier les troubles occasionnés par le stress ordinaire de la vie , troubles sans gravité puisque les différents examens se révèylent rassurants : il s'agit de troubles fonctionnels, secondaires aux difficultés de la vie. il n'y a jamis de lésion de l'organe qui souffre !
La particularité de ces troubles est qu'ils récidivent régulièrement, malgré les bons diagnostics et les bons traitements proposés et suivis.
La maladie psychosomatique est fondamentalement différente.
Il s'agit d'une maladie avec une réelle atteinte de l'organe lésé (ulcère, psoriasis, hypertension, sclérose en plaques, asthme, eczéma, recto-colite, Crohn, polyarthrite, etc.) où le système émotionnel ancien de l'enfance et la petite enfance est impliqué, mais le patient n'en a pas conscience !
Ce n'est plus seulement dans la tête, mais aussi gravé dans le corps !
Le traitement médical ne suffit que partiellement à améliorer les lésions,
l'approche psychothérapique y aide largement.
L'hypnose médicale a une action directe sur les symptômes par le bias des sécrétions neuro-hormonales et les neuro-médiateurs (sérotonine, endorphines, acetyl choline, et stimulation de l'activités des lymphocytes et anticorps, entre autres) et son action sur l'humeur par son action anxiolytique et anti dépressive)
Dire que c'est dans la tête est une ineptie : le lien corps-esprit fait que le corps n'ignore rien de ce qui se passe dans l'esprit.
Et que lorsque l'esprit souffre, les cellules du corps souffrent.
L'organe lésé est souvent symbolique de la souffrance décrite.
Qui pompe l'air à l'asthmatique ?
Qu'est-ce qui ronge l'ulcéreux ?
Qui donne des boutons à l'eczémateux ?
Qu'est-ce qui pèse si lourd sur le dos de la sciatique et lui fait traîner la patte ?
Qu'est-ce qui fait ch... le colitique ?
Autant de question à se poser avant de dire : c'est dans la tête !
Mais c'est là que se pose le vrai problème pour le médecin ou le psy :
que faire de la réponse du patient quand il répondra juste, comme toujours !
c'est psychique,
c'est psychosomatique,
c'est un trouble fonctionnel.
Faut aller voir un psy, tout est normal !
Oui, mais ... ils ont tous faux : les médecins, les soignants, les entraîneurs, les coachs, enfin tous ceux qui sont en face de celui qui souffre et chez qui on ne touve pas toujours quelque chose !
Et pourtant, quelle souffrance !
Combien de fois ai-je entendu : il faudrait que j'ai un bon cancer pour qu'on me croit enfin !
Non, non, cher Patient, pas d'excès ni d'impatience,
pas besoin d'aller mal pour aller mieux !
Le corps a ses raisons que la raison ignore,
mais que l'inconscient, dans le secret et dans l'intime, ne connaît que trop bien.
5% des informations que nous recevons passent par le filtre de notre conscience alors 95% des information échappent à cette capacité d'être discriminées.
Elles développent leur toxicité dans certaines situations. ce qui peut expliquer des moments de malaise ou de mal-être à certains moments de la journée, sans trop savoir pourquoi l'on se sent ainsi.
Imaginez alors cette accumulation pendant plusieurs semaines, mois ou années,
sans jamais en avoir conscience.
Pouvez-vous soupçonner les dégâts occasionnés sur les organes, qui dans le silence, souffrent et n'en peuvent plus mais !
Il est important de clarifier les troubles occasionnés par le stress ordinaire de la vie , troubles sans gravité puisque les différents examens se révèylent rassurants : il s'agit de troubles fonctionnels, secondaires aux difficultés de la vie. il n'y a jamis de lésion de l'organe qui souffre !
La particularité de ces troubles est qu'ils récidivent régulièrement, malgré les bons diagnostics et les bons traitements proposés et suivis.
La maladie psychosomatique est fondamentalement différente.
Il s'agit d'une maladie avec une réelle atteinte de l'organe lésé (ulcère, psoriasis, hypertension, sclérose en plaques, asthme, eczéma, recto-colite, Crohn, polyarthrite, etc.) où le système émotionnel ancien de l'enfance et la petite enfance est impliqué, mais le patient n'en a pas conscience !
Ce n'est plus seulement dans la tête, mais aussi gravé dans le corps !
Le traitement médical ne suffit que partiellement à améliorer les lésions,
l'approche psychothérapique y aide largement.
L'hypnose médicale a une action directe sur les symptômes par le bias des sécrétions neuro-hormonales et les neuro-médiateurs (sérotonine, endorphines, acetyl choline, et stimulation de l'activités des lymphocytes et anticorps, entre autres) et son action sur l'humeur par son action anxiolytique et anti dépressive)
Dire que c'est dans la tête est une ineptie : le lien corps-esprit fait que le corps n'ignore rien de ce qui se passe dans l'esprit.
Et que lorsque l'esprit souffre, les cellules du corps souffrent.
L'organe lésé est souvent symbolique de la souffrance décrite.
Qui pompe l'air à l'asthmatique ?
Qu'est-ce qui ronge l'ulcéreux ?
Qui donne des boutons à l'eczémateux ?
Qu'est-ce qui pèse si lourd sur le dos de la sciatique et lui fait traîner la patte ?
Qu'est-ce qui fait ch... le colitique ?
Autant de question à se poser avant de dire : c'est dans la tête !
Mais c'est là que se pose le vrai problème pour le médecin ou le psy :
que faire de la réponse du patient quand il répondra juste, comme toujours !